Leçons de Ténèbres
In Musica Veritas
Samedi saint dans l'Italie du Seicento
A Holy Saturday Service from 17th century Italy
- 60'56 – 1ère parution en avril 2012
- 60'56 – avril 2012
- Livret en français et en anglais
- Booklet in French and in English
Acheter CD
Buy the CD
5.00 €
Télécharger
Downloads
iTunes
Autres options - fnac, emusic, ...
Other download options ...
Télécharger en qualité CD
Download in CD quality
- Présentation
- Artistes
- Presse parue
- Photos & vidéo
- Presentation
- Album Artists
- Reviews
- Photos & video
Accord parfait de la voix, de la sacqueboute, de l’orgue et du cornet à bouquin pour cet office du Samedi saint, au cœur de l’Italie du 17ème siècle. Original dans sa composition et sa démarche, l’Ensemble In Musica Veritas nous donne ici à entendre une préfiguration inédite de ce que vont devenir, quelques années plus tard, les fameux « Offices des ténèbres », qui firent les grandes heures de notre musique baroque.
Le programme de ce disque imagine une reconstitution musicale d'une de ces célébrations, celle du Samedi saint, en Italie, au tournant des 16ème et 17ème siècles. Il faut y voir la symbolique du passage des ténèbres de la mort du Christ à la lumière de sa Résurrection. Alternant avec les chants, les différentes pièces instrumentales apportent des respirations musicales méditatives entre les nocturnes.
Enregistré en HDRS par Jean-Yves Labat de Rossi, en mars 2011, au Temple de l’Eglise réformée de Limoges.
Perfect harmony of voice, sackbut, organ, and cornett for this Holy Saturday Service in the heart of 17th century Italy. Novel both in its composition and approach, the In Musica Veritas Ensemble grants us the privilege of hearing an original foretaste of what, a few years later, was to become the celebrated « Services of the Tenebrae », that marked the heyday of our Baroque music.
The programme of the present recording is built around the liturgy of Easter Saturday and Easter Sunday. It symbolizes the passage from the Tenebrae at the death of Christ to the light at his Resurrection. The different instrumental pieces introduce meditative breathing spaces between the nocturns.
SAMEDI SAINT DANS L'ITALIE DU SEICENTO
Giovanni Maria Trabaci (ca. 1575-1647)
1. Durezze. et Ligature
Francisco Soler (ca. 1625 - 1688)
2. Lamentatio in die Sabbato sancto
AD MATUTINUM
In primo nocturno
Ludovico Grossi da Viadana (1564 - 1645)
3. Lectio prima
4. Responsorium primum
5. Lectio secunda
6. Responsorium secundum
7. Lectio tertia
8. Responsorium tertium
Carlo Donato Cossoni (1623 - 1700)
9. Super Flumina Babylonis
Tarquinio Merula (1595 - 1665)
10. Sonata seconda
In secondo nocturno
Ludovico Grossi da Viadana
11. Lectio quarta
12. Responsorium quartum
13. Lectio quinta
14. Responsorium quintum
15. Lectio sexta
16. Responsorium sextum
Giovanni Poalo Cima (ca. 1570 - 1622)
17. O vos omnes
18. Sonata a due. Cornetto & Trombone
In tertio nocturno
Ludovico Grossi da Viadana
19. Lectio septima
20. Responsorium septimum
21. Lectio octava
22. Responsorium octavum
23. Lectio nona
24. Responsorium nonum
Giovanni Felice Sances (1600 - 1679)
25. Giovanni Felice Sances - Pianto della Madonna
AD LAUDES
Giovanni Maria Trabaci
26. - Consonanze Stravaganti
Giovanni Matteo Asola (ca. 1532 -1609)
27. Christus Factus est
Gerolamo Ballione (1575 - 1608)
28. Maria Magdalena
Recorded in HDRS by Jean-Yves Labat de Rossi, in March 2011
In Musica Veritas
- Alice Habellion, mezzo-soprano
- Franck Poitrineau, sacqueboutes
- Pierre Gallon, orgue
- Judith Pacquier, cornet à bouquin
L’originalité de cette formation - voix, sacqueboute et orgue - permet une lecture particulière et peu entendue dans la musique classique. La sacqueboute (ancêtre du trombone), que l’on rencontre habituellement à l’orchestre ou dans d’autres grandes formations, tient ici une partie vocale de soliste. Si aujourd’hui c’est un rôle qu’elle ne joue que très rarement au sein de petites formations, il s’agissait certainement, à l’époque, d’un usage très commun. La voix de Mezzo offre un timbre très particulier qui se fond idéalement avec la sacqueboute, l’orgue, soutien harmonique, devenant le témoin privilégié de cette association.
Pour ce programme, le trio est accompagné par la cornettiste Judith Pacquier.
Musiciens reconnus, récompensés par de nombreux prix, ils collaborent individuellement à de prestigieux ensembles, tels que Doulce Mémoire, le Concert Spirituel, Les Cris de Paris, Les Arts Florissants, Le Poème Harmonique, Les Traversées Baroques, Les Musiciens du Paradis, Les Folies Françoises, La Chapelle Rhénane, Elyma, le Collegium Marianum, L'Arpeggiata , Europa Galante …
- Alice Habellion, mezzo-soprano
- Franck Poitrineau, sackbut
- Pierre Gallon, organ
- Judith Pacquier, cornett
The originality of this formation – voice, sackbut and organ – allows a rare interpretation of this classic repertoire. The sackbut plays the role of a soloist that blends perfectly with the mezzo voice, as the organ gives them the ideal harmonic support.
For this program, the trio is accompanied by Judith Pacquier’s cornett.
Well known musicians, rewarded by many awards, they individually participate to prestigious ensembles, such as Doulce Mémoire, le Concert Spirituel, Les Cris de Paris, Les Arts Florissants, Le Poème Harmonique, Les Traversées Baroques, Les Musiciens du Paradis, Les Folies Françoises, La Chapelle Rhénane, Elyma, le Collegium Marianum, L'Arpeggiata , Europa Galante …
« La partie vocale [d'Alice Habellion] est parée de diminutions bienvenues. [...] On distinguera en particulier les exigeantes sonates de Merula et Cima, où brillent les fulgurances virtuoses de la cornettiste Judith Pacquier, ou encore l'inhabituelle interprétation à l'orgue régale (supérieurement tenu par Pierre Gallon) de la toccata Durezze e ligature de Trabaci. On est séduit par l'alliance originale de la voix de soprano, de l'orgue et du trombone solo (Franck Poitrineau). Le timbre singulier de la chanteuse, au velours profond et chaleureux, presque androgyne, est agréable ... ». - Diapason
« Les baroqueux ne bouderons pas cet album qui jette une lumière bienvenue sur le dolorisme du Seicento via un parcours emprunté à quelques uns des meilleurs auteurs de la péninsule italienne. La qualité de l’intrumentarium y étant un dernier atout dans le bonheur de l’écoute. ». - Classica
« Les "leçons" proposées par l'ensemble In Musica Veritas, se révèlent particulièrement originales et passionnantes. Le jeu de Pierre Gallon à l'orgue est d'une grande intelligence. La sacqueboute de Franck Poitrineau et le cornet à bouquin de Judith Pacquier, viennent enrichir le continuo avec suavité. La somptuosité de leur interprétation enrichit le dialogue avec le timbre si troublant et envoûtant de la Mezzo-soprano Alice Habellion. Une interprétation unique, poignante et intime. ». - Les Enchantements baroques
Lire
« Toujours présent où l’on ne l’attend pas, Ad Vitam Records opère un intelligent relais entre les musiques les moins médiatisées et les oreilles les plus curieuses. Ces Leçons de ténèbres en sont une preuve tangible. ». - audiofederation.fr
voir http://www.audiofederation.fr/ad-vitam/stunning-dark-sounds#more-1290
« La belle voix chaleureuse ainsi que d’étranges et splendides sonorités instrumentales éclairent cet office habituellement sombre. La prise de son est de haute qualité. ». - Hifi Vidéo
« La voix cuivrée d’Alice Habellion n’aura cessé d’exercer sur nous une emprise envoûtante… Les sacqueboutes de Frank Poitrineau ont ici trouvé un interlocuteur digne de leur sonorité majestueuse… In Musica Veritas se positionne comme un ensemble ayant déjà une forte identité capable de servir l’expressivité musicale. ». - Muse Baroque
voir« Le chant est magnifiquement porté par la voix à la fois forte et diaphane de la jeune mezzo soprano Alice Habellion. Une pure extase musicale. ». - L'Echo
« De superbes pièces polyphoniques. La voix d’Alice Habellion est l’astre de ce CD dans lequel le sacqueboutier Franck Poitrineau, l’organiste Pierre Gallon et Judith Pacquier, virtuose du cornet à bouquin, imposent leur virtuosité et leur jeu délicat. ». - La Montagne
« La liturgie du Samedi saint au dimanche de Pâques est ici portée par des musiciens hors pairs. ». - A l'écoute
« Qu’elle est belle cette ambiance sainte… Le chant d’Alice Habellion est d’une justesse, à un point que sa voix arrive à nous transpercer le cœur et l’âme. C’est touchant et poignant. L’orgue de Pierre Gallon est majestueux, son approche avec la sacqueboute de Franck Poitrineau est subtil et forme une osmose parfaite ». - Nicolas Roberge, Classique HD
Lire
« ». -
